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L'espace des sciences sociales : Beate Volker, Social Capital Theory : achievements, fallacies and new directions
Publié le 18 novembre 2021 – Mis à jour le 25 novembre 2021
le 7 février 2022
10h - 12h30
Salle E412 (MDR2)Beate Völker est professeur de sociologie à l’université d’Utrecht. Ses recherches portent sur les réseaux et le capital social, et en particulier sur les réseaux dans les quartiers et les communautés de voisinage. Elle étudie actuellement les effets négatifs des réseaux sociaux et du capital social, par exemple les relations négatives, la solitude et la criminalité.
La notion de capital social a donné lieu à diverses conceptualisations. Dans les travaux de Pierre Bourdieu, elle désigne les ressources liées à la possession d’un réseau de relations, relations qu’il identifie à l’appartenance à un groupe.
Dans la tradition de l’analyse des réseaux sociaux, la notion renvoie également à des ressources accessibles à travers des relations mais celles-ci ne sont pas nécessairement associées à un groupe. Par extension, la taille, la composition et la structure du réseau personnel (les personnes que l’on connaît) sont parfois interprétées comme des indicateurs de ce capital.
Pour rappel, le séminaire est ouvert à toutes et tous, chercheur.se.s et étudiant.e.s, et permet en particulier à toutes celles et ceux qui participent aux recherches du Labex de débattre de leurs méthodes, leurs lectures, leurs concepts, dans une approche transversale des sciences sociales.
La notion de capital social a donné lieu à diverses conceptualisations. Dans les travaux de Pierre Bourdieu, elle désigne les ressources liées à la possession d’un réseau de relations, relations qu’il identifie à l’appartenance à un groupe.
Dans la tradition de l’analyse des réseaux sociaux, la notion renvoie également à des ressources accessibles à travers des relations mais celles-ci ne sont pas nécessairement associées à un groupe. Par extension, la taille, la composition et la structure du réseau personnel (les personnes que l’on connaît) sont parfois interprétées comme des indicateurs de ce capital.
Pour rappel, le séminaire est ouvert à toutes et tous, chercheur.se.s et étudiant.e.s, et permet en particulier à toutes celles et ceux qui participent aux recherches du Labex de débattre de leurs méthodes, leurs lectures, leurs concepts, dans une approche transversale des sciences sociales.